Collection Zone Rouge. Accident Sur L’Autoroute (2/2)

La duchesse mon épouse et moi le vicomte Antoine propriétaire terrien d’hectares de vignes et de champs en Bourgogne se rend chez les Dupont roturiers enviant nos titres même si depuis la révolution, nos droits nous ont été réduits.
Je roule en Bentley avec chauffeur quand sur l’autoroute, un accident nous bloque.
Accident plus quelques kilomètres de voiture devant et rapidement avant qu’il ferme l’autoroute, quelques voitures derrière.
La duchesse est accompagnée de son caniche nain à poil long qu’elle fait toiletter plusieurs fois chaque semaine me coûtant un max.
Mes rapports avec ma femme sont très succins voire inexistants mais je me ratt avec les deux bonnes et surtout Édith la mère de mon fils qui prendra ma succession sur notre domaine.
J’ai baisé Édith pour remplacer Albert mon copain d’enfance qui devenait mon maître de chais.
Il était stérile, la duchesse refusant les s et le couple étant d’accord, c’est moi qui ai été le géniteur.
Ce qu’ignore Albert qui était en course avec moi pour l’épouser et qui a gagné la course par sa hardiesse, c’est que cette bataille il a fini par la perdre car sa femme est régulièrement ma maîtresse.
C’est facile pour moi de la sauter sans que mon copain le sache, elle est la responsable des ventes et des stocks.
À ce titre elle vit dans la dépendance de notre domaine près de mon manoir et a son bureau dans une aile de ce dernier.
La duchesse vit à l’étage supérieur.
Au dernier sa mère.
Ma belle-mère qui reste confinée dans ses appartements et qui à ce que j’en ai compris aurait un plomb qui aurait sauté.

Dans ma voiture sous couvert de passer le temps je force Marie-Louise à me sucer la queue.
Je pourrais penser qu’elle fait cela de longue date car lorsque je lui ai enlevé son chapeau à large bord me cachant le travail, c’est une gorge profonde qu’elle me fait.
Est-ce la chance de la débutante ou une experte sachant me cacher ses infidélités mais je finis par lui décharger dans la bouche lui faisant avaler mon sperme.


Elle se rajuste et descend pour faire pisser Louloutte et elle-même par la même occasion.

- Monsieur, je m’excuse, vous dormiez, je trouve qu’il y a très longtemps que madame la duchesse a quitté la voiture.

Je me redresse, regardant ma montre, il est plus de 23 heures, il fait nuit.
Trop tard pour nous rendre chez les Dupond, le soufflé en temps normal, toujours retombé, a dû tomber deux voire trois fois.

- Au lieu de rester là sans rien faire, vous auriez pu aller voir ce qu’il lui était arrivé !
- J’avais peur de vous réveiller en faisant claquer la portière, monsieur le vicomte.

Pauvre con, je comprends pourquoi il est chauffeur même particulier, il est dans une Bentley et comme je l’ai déjà dit c’est une voiture où les portes se ferment sans le moindre claquement.
Elle me coûte assez cher en entretient hors de prix bien sûr car à chaque révision elles sont réglées au micron quand elles se ferment.
Lucien quitte la voiture et remonte les voitures comme la fait ma femme après m’avoir sucée pour la première fois depuis notre mariage.
Combien de temps part-il ?
Impossible de le dire mais il revient en courant ouvrant la portière arrière la faisant taper dans la voiture arrêtée à côté de la mienne.
Je vois le conducteur comprendre ce qui vient de se passer aussi je descends avant qu’il m’interpelle.
Je récupère ma canne à pommeau.

- Lucien occupez-vous de ce monsieur qui semble vouloir s’énerver.

À mon tour je remonte la file des voitures.
Je suis dans l'obligation de faire demi-tour, sauf monter sur les capots des voitures ayant tapé les unes dans les autres, il m'est impossible de rejoindre l’aire de repos où doit se trouver la duchesse partie se soulager dans les toilettes publiques.
Il y a un attroupement devant l’entrée de cette petite maison.
Ce qui semble être des chauffeurs de poids lourds sont agglutinés devant l’entrée des latrines.


- Laissez-moi passer, s’il vous plait.
- Fait la queue comme tout le monde, si t’es pressé va pisser dans la nature.
- Je cherche ma femme, elle est avec son chien un caniche nain blanc.
- Tu cherches la pute qui nous suce l’un après l’autre.
- Comment, nous devons parler d’une autre personne et non de ma femme ?
- J’ai pu voir qu’elle était habillée en rose.
- Je dois passer, je vais vous embrocher.

Je dévisse la tête de canard de ma canne et j’en sors une lame si effilée que je pourrais en embrocher deux ou trois d’un coup.
Aller deux, ils sont souvent très gros et trois j’aurais plus grand oeil que grand centre.

- Eh pépère reste calme, on a une femme et des s.

J’arrive à avancer, on me fait un chemin entre la quarantaine d'hommes qui attendent.
Ce que je vois défit tous les entendements.
La comtesse est à genoux devant un balaise qui tient sa verge en main.
J’ai le temps de voir qu’il donne un billet à ma femme.
Elle le glisse dans son corsage.
Elle saisit la verge et l’enfourne comme elle l’a fait avec moi tout à l’heure.
Elle a sous ses genoux un coussin.
Je suis à moins d’un mètre quand je vois qu’elle a du sperme sur sa figure et sur son chemisier.

- Marie-Louise que faites-vous ?
Laissez tomber ce sexe et suivez-moi.

Son roquet est près d’elle et m’aboie après comme s’il voulait la défendre pour qu’elle puisse continuer son débordement de fellation.
Elle lâche le gros morceau et se lève.
Le chauffeur veut me sauter à la gorge de lui prendre celle qui a commencé à le sucer sans cracher son sperme.
Je lui mets ma lame sous le nez et nous pouvons passer vers la voiture.

- Mon chien.

Elle retourne sur ses pas avec du mal sur ses hauts talons et récupère sa louloute.
J’arrive à la faire entrer dans ma Bentley malgré l’odeur qu’elle dégage.
Elle va me pourrir mes sièges.


- Comment vous êtes vous retrouvée dans cette situation ?
Vous vous rendez compte, j’ai vu des gens filmer avec leur portable, nous allons être la risée de la France entière.
Alors comment ?

Je hurle dans la voiture, je vois le massacre sur nos ventes de vin.
La conjoncture est déjà difficile.

- Je sortais de cette cabine où les femmes viennent faire leurs besoins.
J’ai cru que ma louloutte allait tourner de l’œil.
- On se fiche de ton horreur merde.

Elle tombe en larmes son chien sur ses genoux.

- Quand je suis sortie, un homme était devant moi et m’a dit.
« Combien tu prends pour me sucer ? »
- Avec ta tenue et ton chien, il a dû te prendre pour une pute.
Tu lui as répondu ?

Tient, elle a oublié son grand chapeau et je m’aperçois que devant mon courroux je me suis mis à la tutoyer.

- Oui et comme il était très gros je lui ai dit un chiffre.
- Combien ?
- Tout ça.

Elle sort de son soutien-gorge une grosse poignée de billets de…5 €.

- Quoi, 5 € et il semble y avoir une vingtaine de billets.
- J’ai demandé trop, tu sais ils ont été gentil, il y en a un qui m’a amené un coussin.
- Ma pauvre fille, je vais dormir en attendant que l’on puisse repartir et aller nous cacher chez nous.

Je me cale pour trouver mon sommeil.
À peine ai-je fermé l’œil que sa crevure se met à aboyer.
Sa chienne m’aura fait chier jusqu’au bout.

- Antoine, elle a encore envie de faire pipi.

Sans ouvrir un œil, j’appuie sur le bouton d’ouverture de la fenêtre, je saisie bibiche et je la balance sur la petite pelouse entre les glissières.
Je referme la fenêtre.

- Mais vous êtes fou mon ami aller la rechercher tout de suite.
Elle va se faire écraser.
- Avec ce que tu as gagné avec tes fellations tu en rachèteras un autre moins chiant.

Elle doit comprend mon envie de étant à deux doigts de ressortir ma lame de son fourreau.

Elle renifle, son odeur étant loin du 5 de Chanel qu’elle porte en temps normal.

Le moteur tourne, et en roulant doucement nous redémarrons.
Quand nous arrivons au manoir, il est plus de 2 heures.

- Antoine vient me savonner le dos.

Le dos, la chatte et ma verge en elle en levrette sur son lit.
Pour la première fois depuis notre mariage, je la fais jouir.
Cela jusqu’à ce jour où je décide d’écrire son aventure.

Son affreux chien elle l'a remplacé par un chat persan.
Certes elle a bien sucé, mais je mets la main à mon portefeuille à 5 € la sucette on est loin de ce qu’il coute.
J’ignore si j’ai gagné au change quand il me regarde avec ses yeux globuleux.
Un avantage, j’ignore s’il a des cordes vocales, pas un miaulement juste des ronronnements.
Ce qui est certain c’est que la vente de nos vins est en hausse à savoir, les clients ont-ils vu la duchesse sucer sur Internet et viennent voir sans faire d’allusion.
Si ces vidéos circulent, ils voient ma femme sucer des bites les unes après les autres.
Moi, je vois son cul tous les soirs quand elle vient me provoquer et finir par se faire sauter dans notre lit.
Une vraie accro au sexe, à mon sexe.
J’aurais dû la brusquer plus tôt dévoilant la cochonne qui sommeillait en elle.
Il va y avoir un perdant dans notre aventure.
Adrien mon fils que j’ai eu avec Édith la femme de mon copain Albert.
La duchesse est enceinte d’une fille, il partagera notre héritage avec elle.
Mais ça le plus tard possible, j’ai encore de jolies baises en perspective.

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